Kate Middleton, Éric Ciotti, États-Unis, Afrique du Sud et football : les informations de la nuit

Kate Middleton annonce sa première sortie publique depuis six mois. La princesse Kate, qui lutte depuis plusieurs mois contre un cancer, a annoncé vendredi qu’elle participerait ce samedi 15 juin à la traditionnelle parade militaire organisée pour l’anniversaire du roi Charles III. “La princesse veut participer pour témoigner de son soutien à ses enfants et à sa famille, et de son amour pour le roi, qui suit également un traitement contre le cancer”, explique le Daily Mirror, assurant que la première sortie publique de Kate depuis Noël “va ravir la nation”. Kate, 42 ans, a profité de cette annonce pour donner des nouvelles de sa santé. “Je fais de bons progrès, mais comme le sait toute personne suivant une chimiothérapie, il y a des bons et des mauvais jours”, déclare-t-elle, précisant que son traitement se poursuivra “encore pendant plusieurs mois” et qu’elle n’est “pas encore tirée d’affaires”.

Les Républicains : la justice invalide l’exclusion d’Éric Ciotti. Les jours passent et la saga n’en finit plus”, ironise Le Soir. Vendredi soir, la justice a invalidé l’exclusion d’Éric Ciotti de la présidence de LR, votée mercredi par les dirigeants du parti. Ces derniers n’avaient pas pardonné à leur patron d’avoir appelé à une alliance avec le Rassemblement national (RN) pour les prochaines élections législatives. “La justice a parlé, je suis président des Républicains”, a réagi Éric Ciotti vendredi soir, assurant qu’il allait “conduire cette campagne des élections législatives pour faire triompher l’alliance des droites”. On ignore cependant de quel côté vont pencher les députés LR sortants, entre la ligne gaulliste défendue par les barons du parti et l’alliance des droites promue par Éric Ciotti. “À deux semaines du premier jour des législatives, ce nouveau rebondissement va compliquer encore plus la campagne pour un parti en pleine implosion”, résume le quotidien belge.

États-Unis : la Cour suprême renforce la dangerosité des fusils semi-automatiques. La Cour suprême américaine a annulé vendredi l’interdiction des “bump stocks”, un accessoire permettant de démultiplier la cadence de tir des fusils semi-automatiques. Les Sages ont estimé que le Bureau fédéral de l’alcool, du tabac, des armes à feu et des explosifs (ATF), “avait outrepassé son autorité” en interdisant leur usage en 2018, suite à la fusillade qui avait fait 58 morts et plus de 500 blessés, le 1er octobre 2017, à Las Vegas, rapporte NPR. La plupart des 22 fusils du tueur étaient équipés de ces “bump stocks”, qui lui avaient permis de perpétrer son massacre en à peine plus de dix minutes. Le président américain Joe Biden, qui brigue un second mandat, a exhorté le Congrès à se saisir de la question et à “adopter une interdiction des armes d’assaut”.

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