La visite d’État de Charles III a été annulée ce vendredi matin, au lendemain d’une journée de mobilisation massive mais marquée par les violences dans plusieurs villes.
À Bruxelles ce vendredi, le chef de l'État a été interrogé par un journaliste britannique sur le report de la visite du roi Charles III en France, annoncé en fin de matinée.
La colère sociale en France aura eu raison de la visite d’État du monarque britannique. Un fait rarissime qui réjouit certains opposants à la réforme des retraites.
La visite de Charles III est reportée à cause de la prochaine manifestation contre la réforme des retraites. Cette dernière se tiendra le mardi 28 mars prochain. Cependant, aucune nouvelle date n'a été communiqué sur la venue du roi d'Angleterre
La visite du monarque britannique, prévue de dimanche à mercredi, est officiellement reportée en raison de la nouvelle journée de mobilisation annoncée pour le 28 mars. Mais des questions de sécurité se posaient, tout comme la présence de symboles potentiellement dévastateurs, en pleine crise politique et sociale liée à la réforme des retraites.
Alors qu’Emmanuel Macron a annoncé son intention de scinder le projet de loi immigration en plusieurs textes, les députés LR devraient déposer leur propre proposition de loi sur le sujet. Invité de Public Sénat et LCP, le sénateur LR François-Noël Buffet, président de la commission des lois, indique réfléchir lui aussi à présenter un texte qu’il a déjà préparé.
Victime collatérale des mobilisations contre la réforme des retraites, la première visite d’Etat du roi Charles III a été annulée. Le souverain britannique devait se rendre au Sénat pour prononcer un discours lundi. Il devait participer à un diner au château de Versailles et se rendre à Bordeaux.
La visite d'État en France du souverain britannique a été annulée ce vendredi. Il était attendu dimanche et devait notamment dîner lundi à Versailles avec le président français.
Sandrine Rousseau réagit sur le report de la visite de Charles III en France, sur BFMTV.
La visite d'État du souverain britannique, attendue à partir de dimanche prochain, est annulée en raison de la mobilisation contre la réforme des retraites. Une décision dont se félicite la gauche.
Downing Street assure que le report s'est fait à la demande du président Macron.
Laurent Berger de la CFDT et Cyril Chabanier de la CFTC demandent à Emmanuel Macron « une pause », « a minima », dans sa réforme des retraites pour « calmer le jeu. »
La croissance économique du secteur privé a atteint son plus haut niveau depuis dix mois, grâce au dynamisme du secteur des services, en mars.
Selon l'Élysée, le report de cette visite a été décidé compte tenu de l'annonce d'une nouvelle journée de mobilisation contre la réforme des retraites mardi.
Le souverain britannique devait effectuer une visite d’État de trois jours dans l’Hexagone, une première depuis son accession au trône en septembre dernier. La nouvelle date de sa visite est inconnue.
Le ministre de l'Intérieur a accusé les "casseurs" présents lors des dernières manifestations d'être "des enfants de bonne famille". Il reste pourtant difficile de dresser un tableau précis de cette mouvance classée à l'extrême gauche.
Pour le ministre de l’Intérieur, parmi les « 1 500 casseurs » se cachent « parfois des enfants de bonnes familles ».
Selon le député insoumis, le président de la République est un "pyromane" qui se présente ensuite "comme un pompier qui doit rétablir l'ordre dans le pays".
Sitôt la neuvième manifestation achevée le 23 mars, une dixième journée a été annoncée le 28 mars. Et ce n’est pas la dernière, promettent ces manifestants parisiens.
Invité ce vendredi de la matinale de Public Sénat, Luc Carvounas, le maire PS d’Alfortville, estime que le gouvernement fait face à une triple crise : sociale, politique et institutionnelle. Selon cet ancien parlementaire, le chef de l’Etat n’a que deux options pour se dégager de l’ornière de la réforme des retraites : la dissolution ou le référendum.
Le député insoumis a cité les propos de l'ancien président de la République, qui avait lâché du lest sur le Contrat première embauche (CPE) en 2006 face au mouvement social. Avant que la mesure ne soit abandonnée 10 jours plus tard.
Les manifestations contre la réforme des retraites jeudi font la une de la presse nationale et régionale ce vendredi. Elles soulignent le regain de mobilisation et les heurts qui ont émaillé les cortèges.
Le député LFI-NUPES de la somme est l'invité d'Apolline de Malherbe dans le face-à-face sur BFMTV.
La colère ne retombe pas. De violents incidents ont émaillé les manifestations contre la réforme des retraites jeudi. Le ministre de l'Intérieur a fait état de "457 interpellations" et de "441 policiers et gendarmes blessés".
François Ruffin, député LFI de la Somme, est l'invité d'Apolline de Malherbe dans le "Face à Face" sur BFMTV, ce vendredi 24 mars.