Enceinte, elle manque de perdre sa jambe à cause de ce médicament

Une terrible mésaventure qui remonte à avril 2020. À l'époque, Sarah Bristow entame son troisième mois de grossesse. Elle développe toutefois une thrombose veineuse profonde et les soignants lui prescrivent de la daltéparine, un anticoagulant qu'elle doit s'injecter dans la jambe. La Britannique, résidant à Hadlow dans le Kent, commence alors son traitement mais la situation vire au cauchemar. Elle constate que sa jambe gauche devient noire et qu'elle éprouve des difficultés à marcher. Elle contacte son médecin traitant mais ce dernier lui donne simplement des antidouleurs. Comprenant que son cas est grave, elle se rend rapidement aux urgences. Sur place, les docteurs lui annoncent qu'elle souffre d'une infection causée par une allergie très rare au médicament.

Une jambe nécrosée

Sarah Bristow réalise que sa peau est en réalité nécrosée. Les soignants n'ont pas d'autre choix que de la retirer chirurgicalement, en même temps que l'infection logée en dessous. Avant l'intervention, ces derniers lui avouent que l'amputation est une possibilité. Par chance, la jeune maman y échappe de peu et se dit "éternellement reconnaissante" que les médecins aient réussi à sauver sa jambe.

Quelques jours plus tard, l'Anglaise subit une greffe de peau sous anesthésie locale. "Je n'avais jamais eu d'anesthésie rachidienne auparavant et j'étais très méfiante. J'ai demandé si je pouvais avoir une anesthésie générale à place, mais ils ont refusé. Ce n'était (...)

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