Les Français ont voté dimanche pour le premier tour d'élections législatives historiques. Selon le ministère de l’Intérieur, le Rassemblement national (RN) obtient 33,1 % des voix, le Nouveau Front populaire 28 %, et Ensemble, la coalition présidentielle, 20 %. Au lendemain du scrutin, Gabriel Attal tient une réunion de crise au parti Renaissance. Le Premier ministre devrait y discuter des consignes de vote. Les précisions de Florent Rodo.
Mardi 2 juillet 2024, François Hollande était l'invité d'Anne-Sophie Lapix dans le journal du 20 heures sur France 2. A quelques jours du second tour des élections législatives, l'ancien président a été interrogé sur le rôle qu'il peut jouer pour faire barrage au Rassemblement national.
A quelques jours du second tour des élections législatives, Gabriel Attal était l'invité de BFMTV, mercredi 3 juillet 2024. Le Premier ministre n'a pas hésité à évoquer son apparence physique alors qu'il est âgé de 35 ans.
Berlin et Ankara ont respectivement convoqué les ambassadeurs de la Turquie et de l'Allemagne après la célébration à l'Euro de Merih Demiral, qui a effectué un signe de ralliement d'un mouvement ultra-nationaliste turc.
La 1re circonscription du Val-d’Oise fait partie de celles qui verront s’affronter trois candidats dimanche. Alors que le RN y est en tête, ces électeurs de gauche s’inquiètent.
Alors que l’état de santé du président américain inquiète, les électeurs démocrates affirment que seule Michelle Obama pourrait battre Donald Trump en novembre 2024 si elle décidait de faire campagne.
Si Joe Biden devait laisser sa place à un autre démocrate dans la course à la Maison Blanche, seule Michelle Obama serait en capacité de recueillir plus de voix que Donald Trump, selon une enquête de l'institut Ipsos publiée ce mardi 2 juillet.
La presse locale a révélé que la candidate du parti d'extrême droite dans la 3e circonscription de Mayenne, Annie-Claire Bell, avait été condamnée à de la prison ferme en 1995 pour une prise d'otage à main armée.
Réélue dès le premier tour dans la 2e circonscription du Var, la quadragénaire s’est imposée comme une figure montante du parti à la flamme.
Le nationalisme et le populisme teintés de racisme au pouvoir ? En Tunisie, on a déjà essayé et on s’obstine, malgré les conséquences délétères, observe “Business News”. Le titre ironise sur le régime tunisien, incarné par le président du pays, Kaïs Saïed, qui distille et laisse passer “discours haineux et fascistes sans bouger le petit doigt”.
Pour de nombreux sympathisants du Rassemblement national, les alliances créées afin de faire barrage au parti d'extrême droite sont "contre-nature."
TikTok s’est emparé des mots inquiétants de Sonia Sotomayor, juge de sensibilité démocrate à la Cour suprême, à propos de l’immunité présidentielle.
Le président contesté des Républicains depuis son alliance avec le RN en vue du second tour des législatives, Éric Ciotti, a annoncé "engager une procédure d'exclusion" du parti visant Xavier Bertrand.
TRIBUNE. Le président de la République a fait de la France un champ de ruines politique et se montre prêt à toutes les compromissions électoralistes.
DES NOMS - Affaibli depuis son débat calamiteux contre Trump, Biden est mis sous pression dans son propre camp démocrate pour jeter l’éponge
Interrogée sur la revalorisation du Smic à 1600 euros, mesure phare du Nouveau Front populaire, Marine Tondelier a cité l'exemple de l'Allemagne et de l'Espagne qui ont également augmenté les salaires minimums.
Le président du Conseil régional des Hauts-de-France assure que le parti d'extrême droite n'est absolument pas préparé à l'exercice du pouvoir et que Jordan Bardella va diriger le pays "sans expérience".
Déclarations aux relents racistes, homophobes, complotistes, casquette nazie… Les profils des candidats investis par l’extrême droite sont passés au crible.
Alors que l’état de santé de Joe Biden inquiète, le nom de sa vice-présidente émerge progressivement pour le remplacer dans la campagne présidentielle.
Le second tour des élections législatives 2024 a lieu dimanche 7 juillet. Un peu plus de 500 circonscriptions sont concernées.
Le Conseil des ministres a adopté ce mercredi 3 juillet, comme c'est régulièrement le cas, de nouvelles nominations à différents postes de l'appareil d'État. Marine Le Pen accuse Emmanuel Macron de mener un "coup d'État administratif" en prévision d'une éventuelle cohabitation avec le RN.
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