JO 2024 : un plan B est prévu pour les épreuves de natation et de triathlon

Un bulletin hebdomadaire de la mairie de Paris, publié jeudi 4 juillet, a fait savoir que la qualité de l’eau s’était améliorée et pourrait permettre la baignade. L'eau de la Seine a été “conforme aux seuils définis par la directive européenne sur six jours”, peut-on lire dans la communication relayée par le média sportif l'Équipe. Cependant, la bataille est loin d'être gagnée. Les épreuves de natation marathon et de triathlon dépendent de la constance de ces améliorations, et la qualité de l'eau doit être surveillée de près pour éviter tout retour en arrière. Pour éviter la débâcle le jour J, le comité d’organisation des jeux olympiques et paralympiques (Cojop) a dévoilé son plan B.

Assurer ses arrières : telle est la stratégie du président du Cojop, Tony Estanguet. Le comité a réfléchi à un “site de réserve” dans lequel les athlètes pourront continuer leur épreuve de natation marathon. Il s’agit d’un endroit situé en Seine-et-Marne dans lequel des amateurs font du canoë et de l’aviron en été. Selon Tony Estanguet ce “site de canoë et d’aviron de Vaires-sur-Marne offre toutes les caractéristiques pour accueillir ces épreuves”, explique-t-il au journal sportif.

Qu’en est-il du triathlon ? L’ancien sportif, devenu président du Cojop, indique à l’Equipe que les épreuves deviendront un duathlon “en tout dernier recours” ou seront reportées, en cas d’épisode pluvieux. Mais rien n'est certain et l’ex triple champion olympique reste positif : “sur les neuf derniers jours, sept auraient (...)

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