Semaine du cerveau 2023 : inscrivez-vous gratuitement à des conférences sur les mondes imaginaires, l'IA et le changement climatique

Pourquoi aimons-nous de plus en plus les mondes imaginaires ? La solution au changement climatique se trouve-t-elle dans notre cerveau ? Comment communiquent les grands dauphins ? A l'ENS-PSL (Paris), cinq chercheurs décryptent les arcanes de notre cerveau. Inscription gratuite.

Où se trouve la peur dans notre cerveau ? Pourquoi aimons-nous de plus en plus la fiction située dans des mondes imaginaires ? Et si en matière de changement climatique, le problème comme la solution se situaient dans notre crâne ? Du 13 au 17 mars 2023, à l'occasion de la Semaine du Cerveau, l'Ecole Normale Supérieure – PSL (Paris 5e) propose gratuitement des conférences répondant à toutes ces questions et bien d'autres, animées par des chercheuses et chercheurs.

INSCRIPTIONS. Inscrivez-vous gratuitement aux conférences de votre choix sur le site dédié. Les conférences ont lieu à Paris 5e, tous les soirs à 18h30 du lundi 13 au vendredi 17 mars 2023. Pour ceux qui ne peuvent s'y rendre, retrouvez près de chez vous l'un des 600 événements grand public et gratuits organisés dans le cadre de la Semaine du cerveau.

Intelligence artificielle, changement climatique et peur

Notre gros cerveau est un outil si performant qu'aucune machine n'a encore réussi à en détrôner la puissance de calcul et d'apprentissage. Mais cet état de fait pourra-t-il changer ? Les intelligences artificielles du futur et leur potentiel à devenir sentientes, c'est le sujet qu'explorera Aïda Elamrani (conférence du jeudi 16 mars), une exploration des consciences artificielles entre informatique et philosophie.

L'efficacité de notre cerveau tiens aussi à ses raccourcis, ses biais et ses leviers sur lesquels reposent toutes nos décisions et dont dépendent tous nos problèmes, même les plus majeurs. "La solution au changement climatique ne va pas dépendre uniquement de réponses technologiques, mais aussi de changements profonds de nos sociétés et de nos comportements. Et même si l'on veut avoir recours à des technologies, celles-ci doivent être compatibles avec la psychologie humaine et le contexte social", explique Aurore Grandin (conférence du lundi 13 mars). Les failles de notre cerveau face au changement climatique ont un nom : effet rebond, biais cognitifs, ignorance motivée et image de soi, autant[...]

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