PSG: "J'ai passé 20 jours à saigner et à vomir", Gonçalo Ramos évoque le virus qui lui a fait perdre 8 kilos

PSG: "J'ai passé 20 jours à saigner et à vomir", Gonçalo Ramos évoque le virus qui lui a fait perdre 8 kilos

Son temps de jeu inégal dans un secteur ultra concurrentiel n’a pas favorisé sa pleine adaptation au jeu prôné par Luis Enrique, ni facilité sa connexion avec ses coéquipiers sur le terrain. Mais on sait aussi depuis le début de l’année et la révélation de cette information par le quotidien Record qu’un violent virus a assombri les perspectives de Gonçalo Ramos au cœur de l’hiver, entraînant son déclassement dans la hiérarchie des attaquants. Pour le quotidien Record, l’attaquant du Paris Saint-Germain est revenu en détail sur ce contre-temps médical dont il se serait bien passé dans cette saison de transition pour lui, surtout que cette épreuve l’a laissé durablement affaibli.

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A post shared by Viktorija Burakauskas (@toribur) on Jan 21, 2020 at 8:43am PST

Gonçalo Ramos: "J'ai dû aller à l'hôpital quatre ou cinq fois"

"J'ai eu un mois de décembre compliqué. J'ai d'abord attrapé un virus qui s'est ensuite transformé en infection du colon", a-t-il expliqué à nos confrères. L’information n’a jamais été divulguée par le club. Tout juste Luis Enrique avait-il concédé que son joueur avait "perdu du poids". "J'ai passé 20 jours à saigner et à vomir, sans réussir à manger, avec une fièvre très élevée, a précisé Gonçalo Ramos auprès de Record. J'ai dû aller à l'hôpital quatre ou cinq fois, et j'ai été sous perfusion. J'ai perdu 8 kilos et, au cours d'une saison d'adaptation en France, ça n'aide pas. J'ai ensuite dû reprendre du poids à mi-saison, faire une présaison en janvier ce qui n'est pas facile."

S’il n’est pas toujours titulaire, loin de là, et que d’autres options sont pour l’instant privilégiées par Luis Enrique, Gonçalo Ramos a inscrit six buts depuis le début de l’année, toutes compétitions confondues. Quand il est sur le terrain, le Portugais continue de se distinguer par sa débauche d’énergie dans le harcèlement, les courses sans ballon, l'intelligence de ses déplacement, mais également sa spontanéité devant le but, ce que ses performances contre l'OM, où il avait inscrit un doublé, et plus récemment contre Lille, avaient laissé entrevoir. Même si la réussite n’est pas toujours au rendez-vous, à l’image de son duel en fin de match face à Bertaud (81e), dimanche contre Montpellier (6-2).

Article original publié sur RMC Sport