Yahoo Actualités MMA: sur un ton humoristique, Doumbè promet d'éteindre Emmanuel Macron
Cédric Doumbè ose tout, et c’est aussi à ça qu’on le reconnaît. Le champion de kickboxing devenu un combattant MMA sur le tard est un adepte des coups d’éclat sur la toile. Sa dernière trouvaille pour attirer l’attention? Provoquer le président de la République, Emmanuel Macron, sur le ring (ou dans la cage). "Mr avec tout le respect que je vous dois… je vous éteins. J’attends la date et l’heure. Ratio", s’est amusé le combattant du PFL sur Twitter.
Une sortie à prendre évidemment au second degré tant le combattant nous a habitués à user de ce procédé pour faire le buzz, en promettant d'éteindre quiconque souhaiterait croiser sa route dans la cage. On se souvient bien sûr de ce gimmick qu’il a instauré avant son combat expédié face à Jordan Zebo au PFL de Paris, avec ce fameux "Jordan, t’es mort" qui aura fait rugir le Zénith de Paris.
Emmanuel Macron, plus tennisman que boxeur
Cette fois-ci, Cédric Doumbè a saisi l’occasion de faire parler lui après que le chef de l’Etat s’est mis en scène dans une courte vidéo tournée dans une salle de sport, gants de boxe fixés à l’épaule, sac de frappes en arrière-plan, à J-200 des Jeux olympiques de Paris. L’occasion pour le chef de l’Etat de promouvoir ce qu’il a érigé en "grande cause nationale" pour l’année 2024, à savoir le sport, et de vanter les bienfaits de la pratique sportive quotidienne. Cédric Doumbè semble vouloir partager une séance avec Emmanuel Macron. Reste à connaître la réponse du président de la République.
Amateur de football et supporter de l’OM, Emmanuel Macron s’est surtout fait remarquer sur les courts de tennis, plus que dans les salles de boxe. Le noble art est le domaine de son ancien Premier ministre, le maire du Havre, Edouard Philippe, à la tête du parti Horizons, dont les députés sont engagés au sein de la majorité. "C'est un bon petit boxeur avec une belle droite", disait de lui l’immense Jérôme Le Banner, qui a eu l’occasion de "croiser les gants" plusieurs fois avec Edouard Philippe dans une salle du nord du Havre, une ville qui rassemble les deux hommes (Le Banner y est né).
