Julie de Bona (L'école de la vie) : "Mes angoisses d’élève sont revenues"

Qu’est-ce qui vous a séduite dans le rôle d’Alexandra Delage, prof de français et de théâtre, dans un lycée parisien ?

Julie de Bona : Le scénario. J’ai senti quelque chose d’exigeant, de vrai, de fin. J’ai su que j’avais affaire à une série qui faisait grandir les gens. J’ai aussi été touchée par son réalisme.

Les scénaristes se sont inspirés de documentaires avec de vraies histoires de gamins. Selon vous, quelle est la différence entre L’École de la vie et les autres séries se déroulant en milieu scolaire, telles que Le Remplaçant ou La Faute à Rousseau ?

Je connais ces deux séries, qui sont formidables dans leur style, mais je n’avais pas envie de faire ça. Quand j’ai lu le scénario de L’École de la vie, j’ai eu l’impression de me retrouver dans mon film préféré, Le Cercle des poètes disparus, de Peter Weir. J’y ai retrouvé le même ADN. Les autres séries autour de l’école donnent une image un peu caricaturale des profs, dans le bon sens du terme....

Lire la suite sur Télé 7 Jours

A lire aussi