JO de Paris 2024 : Le président du Cojo dévoile tout de même un plan B pour les épreuves dans la Seine

SI JAMAIS - Malgré une relative amélioration de la qualité de l’eau dans le fleuve parisien, le président du comité d’organisation des JO, Tony Estanguet, a dévoilé les alternatives envisagées pour certaines épreuves devant s’y dérouler

Juste au cas où. L’état de la Seine s’est amélioré ces derniers jours, redonnant un peu le sourire au comité d’organisation (Cojo) des Jeux olympiques de Paris 2024. Impropre à la baignade quasiment tout le mois en raison d’une pollution bactériologique trop élevée, le fleuve est enfin passé sous les seuils définis par la directive européenne sur quatre jours, dont deux consécutifs (28 et 29 juin).

Cette lueur d’espoir n’empêche pas les organisateurs de penser à un plan B pour les épreuves en eau libre, comme l’a confirmé Tony Estanguet ce vendredi dans L’Equipe. « Pour la natation marathon, pour garantir aux athlètes la tenue des compétitions, nous avons instruit un site de réserve : le site de canoë et d’aviron de Vaires-sur-Marne, qui offre toutes les caractéristiques pour accueillir les épreuves », indique ainsi le président du Cojo.

D’un triathlon à un duathlon

La compétition doit se dérouler les 8 et 9 août prochain. Selon Le Parisien, le site de Vaires-sur-Marne, situé en Seine-et-Marne, peut accueillir jusqu’à 15.000 spectateurs pour l’événement.

En ce qui concerne l’épreuve de natation du triathlon, Tony Estanguet est plus prudent : « On a des plans de c(...) Lire la suite sur 20minutes

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