Pour cette infirmière, cette maladie est la pire dont on peut mourir

« Si jamais j'étais atteinte de la SLA, je pense que j'accepterais l'aide médicale... Je ne voudrais tout simplement pas le faire. C'est une maladie difficile. » Ces mots viennent de Julie McFadden, une infirmière en soins palliatifs du sud de la Californie qui s'est lancée dans les médias sociaux sous le nom de Hospice Nurse Julie. Dans un épisode du podcast américain Problem Solved with Therapy Jeff, elle partage les "pires" et les "meilleures" maladies dont on peut mourir, d'après son expérience en tant que professionnelle. A la première place de ce podium macabre se trouve la sclérose latérale amyotrophique (SLA), connue également sous le nom de maladie de Charcot. Cette pathologie dégénérative grave provoque la mort des neurones qui contrôlent les muscles volontaires. La marche, la parole, la déglutition et la respiration deviennent de plus en plus difficiles. Il s’agit d’une maladie au pronostic sombre, dont l’issue est fatale après 3 à 5 ans d’évolution en moyenne, précise l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm). Le plus souvent, c’est l’atteinte des muscles respiratoires qui cause le décès des patients.

A la deuxième place, le glioblastome

A la deuxième place du classement, Julie McFadden cite le glioblastome, la tumeur cérébrale la plus agressive et invasive. La survie médiane des patients est de 15 mois. « Les glioblastomes sont des tumeurs cérébrales assez coriaces. Elles touchent généralement (...)

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