Il pensait avoir chaud, il souffrait en fait d'un cancer incurable

Un sportif américain a découvert qu'il souffrait d'un cancer médullaire de la thyroïde de stade 4 qui était propagé dans son corps.

Les médecins ont découvert une tumeur de 8 cm placé sur sa glande surrénale gauche (Getty Images/iStockphoto)

Ce matin-là, Will Wise se rend au travail en métro quand il commence à avoir très chaud et à transpirer. Il ne se préoccupe pas trop de cette situation et attribue ce désagrément au stress. Mais alors qu'il arrive à son bureau, il commence à vomir du sang et s'évanouit avant d'être transporté aux urgences.

Les médecins ont réalisé des tests et ont découvert qu'il souffrait d'un cancer incurable. "Une personne sur deux aura un cancer, mais j'en étais inconscient avant de vivre cela. Je n'avais aucun symptôme. Étant un ancien joueur de basket-ball professionnel, j'étais plutôt en forme. Je suis allé courir ce matin-là, puis j'ai pris une douche et je suis parti travailler. Quand j'étais dans le métro, j'ai commencé à transpirer abondamment. Je vomissais et je vomissais un liquide vert sans rien n'avoir mangé de vert", raconte le patient cité par The Sun.

"Mon cœur, mes reins, mon foie, mes poumons, ils tombaient tous en panne simultanément", explique Will Wise. Il a été placé sous respirateur pour le maintenir en vie, les médecins ont découvert une tumeur de 8 cm placée sur sa glande surrénale gauche. "Cela s'appelle un phéochromocytome et cela produit des quantités anormales d'adrénaline, c'est pourquoi tous mes organes s'arrêtent. En moyenne, l'adrénaline d'un humain varie de zéro à 1 000, mais quand je suis tombé malade, la mienne était de 50 000", confie le patient.

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Dans les semaines suivantes, il a appris qu'il souffrait d'un cancer médullaire de la thyroïde de stade 4 qui était propagé dans son corps. "Je me suis figé à ce moment-là – le temps s'est arrêté. J'ai mis du temps à comprendre ce qu'il se passait. Une fois que nous avons commencé à parler de scanners et de chirurgie, c'est à ce moment-là que cela est devenu vraiment réel." Depuis, le patient a subi une intervention chirurgicale afin de retirer sa glande surrénale gauche, sa thyroïde, sa parathyroïde et 65 ganglions lymphatiques.

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Ce cancer n'est pas guérissable mais les traitements doivent permettre d'aider les patients au quotidien. "Il ne s'agit plus de combattre le cancer, il s'agit de survivre au cancer. Pour les personnes atteintes d'un cancer au stade quatre comme moi, c'est notre seul choix. C'était un choc et effrayant, mais ce n'est pas parce qu'on m'a diagnostiqué un cancer de stade quatre que je vais arrêter d'être Will."

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