A Deauville, sans les stars, la fête est plus folle

N’en déplaise aux Cassandre, le Festival du film américain de Deauville vient de s’achever mais n’est sûrement pas achevé. D’accord, suite à l’absence de stars hollywoodiennes retenues pour cause de grève, ça se bousculait moins aux abords du tapis rouge pour obtenir des autographes. Mais dans les salles, pardon, c’était complet ! Et pas que pour les séances prestigieuses du soir ! Comme l’avait annoncé à Paris Match le directeur du festival, Bruno Barde, la fréquentation a connu une hausse de 20% par rapport à l’année dernière. Il est trop tôt pour le savoir, mais il n’est pas impossible que cette 49e édition dépasse les chiffres pré-Covid, à savoir plus de 60 000 entrées.

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De fait, le matin à 10h comme l’après-midi à 14h, les spectateurs se sont déplacés en masse pour apprécier les films en compétition. « C’est quand même bien de remplir une salle de plus de 1000 places [1497 très exactement, ndr] avec des films réalisés et joués par des inconnus du grand public. » reconnaît le journaliste Serge Kaganski, membre du jury critique 2023.

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Les deux autres jurys ont assuré la présence quotidienne de vedettes françaises. D’un côté, le président Guillaume Canet entouré de Marina Hands, Rebecca Marder ou encore Maxime Nucci aka Yodélice ; de l’autre, la présidente Mélanie Thierry entourée de Julia Faure ou encore Pablo Pauly. Sont éga...


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