Arnaque : découvrez les méthodes audacieuses des arnaqueurs pour parvenir à leurs fins

L’histoire biblique a commencé par une arnaque. Le serpent promettait la connaissance à Adam et Eve s’ils croquaient dans le fruit défendu. Résultat, ils furent chassés du jardin d’Eden… Plus près de nous, Vidocq, qui fut délinquant puis policier, inventa au XVIIIe siècle l’« arnache », ruse consistant à se travestir pour tromper le malfaiteur. L’arnache est devenue l’arnaque et la pratique est passée du côté des aigrefins, dont le but était d’escroquer ou d’écornifler (obtenir quelque chose par la tromperie). Les trois règles d’or d’un coup réussi ne changent pas :

1. Une promesse n’engage que celui qui la croit.

2. La créativité des arnaqueurs est équivalente à la crédulité des arnaqués.

3. Plus c’est gros, mieux ça marche. Mais pas toujours pour très longtemps !

L’escroc italien n’a rien inventé ; il a « emprunté » la méthode à son patron véreux. En 1903, un Italien émigré aux Etats-Unis, Carlo Ponzi, trouve un emploi dans une banque, la Banca Zarossi. Il remarque que celle-ci verse un intérêt nettement supérieur à celui de ses concurrentes et qu’elle se sert des nouvelles souscriptions pour rémunérer les premiers déposants. Evidemment, cela ne peut pas durer très longtemps…

La combine est révélée en 1909 et le patron fuit au Mexique. Cela ne décourage pas Carlo Ponzi qui reprend l’idée. Il fonde sa propre banque, la Securities Exchange Company, et promet un taux d’intérêt de 50 % à trois mois. Ainsi appâtés, 40 000 clients se font duper et investissent 15 millions de dollars. (...)

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