Alexandre Brasseur (Meurtres à Pont-Aven) : "Ce n’est pas parce que l’on tourne dans une série quotidienne que l’on ne peut pas faire autre chose"

Vous interprétez le capitaine Antoine Le Mezec. Avec un tel nom, on sait où l’on met les pieds…

Alexandre Brasseur : C’est sûr qu’on n’est pas dans les Flandres ! Parfois, Les Meurtres à… sont basés sur les mythes et légendes des lieux. Ici, dans le village de Pont-Aven, dans le Finistère, c’est l’une des premières fois que la collection aborde plutôt le côté patrimonial d’un site. Notamment autour de l’école de peinture, dont Paul Gauguin était le chef de file.

Antoine Le Mezec va se retrouver en immersion dans le milieu de l’art, un univers que vous connaissez bien…

Mes grands-parents maternels, comme ma mère, ont toujours été très portés sur l’art. D’où mon intérêt pour ce domaine. Partout où je vais, en France ou à l’étranger, je m’informe sur les musées, les expositions et les galeries à visiter. Je suis un vrai passionné d’art sculptural et pictural. D’ailleurs, j’ai encore acheté un tableau hier.

Votre personnage, lui, n’y est pas plus sensible que cela… En découvrant le script, qu’avez-vous compris d’Antoine ?

J’ai tout de suite senti que quelque chose n’avait pas été très clair dans son passé. Il revient sur les terres de son enfance et de sa première affaire, où il avait conclu à un accident, après la mort d’une peintre. Cette femme n’était autre que la mère de Marion (Astrid Roos, ndlr), avec qui il enquête aujourd’hui sur le meurtre d’un galeriste. On a l’impression qu’il porte en lui, non pas une r...

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