Le Voyageur (France 3) - Laurent Gamelon : "Lazare développe un sentiment très tendre, quasi paternel, à l’égard de Kandinsky"

Ce capitaine Lazare semble avoir perdu foi en sa mission…

Laurent Gamelon : C’est un homme en fin de carrière, un brin désabusé, même s’il n’a pas démérité. Il a toutefois le sens de l’humour, de l’autodérision. Surtout, il voit d’un bon oeil qu’un flic plus jeune que lui se mêle d’affaires qu’il n’a pas résolues. D’autres auraient pu en prendre ombrage… Au contraire, lui développe un sentiment très tendre, quasi paternel, à l’égard de Kandinsky (Bruno Debrandt).

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Et lui fait partager son amour de la gastronomie, en bon épicurien… Est-ce aussi votre cas, même si l’on vous imagine mal « végé » ou végan ?

Vous faites bien de ne pas l’imaginer. Je suis amateur de bonne chère, de bon vin. J’aime la vie et les plaisirs que nous offre l’existence. Mais je n’ai pas vraiment profité des restaurants de Metz et de ses environs (région où se situe cet épisode, ndlr). Après une grosse journée de tournage, je dîne vite avant de filer dans ma chambre, pour réviser mes textes du lendemain.

À propos de lendemain, où en est Gilles Bousquet, le personnage que vous incarnez dans la série Demain nous appartient ?

Arrive une arche mouvementée, construite autour de lui. Il est question de mariage, de l’enlèvement de sa femme… À partir du 9 février, je serai aussi au Théâtre de la Madeleine, à Paris, pour une comédie intitulée Secret.s, avec Patrick Chesnais pour partenaire, qui joue deux rôles, des jumeaux.

Le Voyageur, samedi 13 janvier à 21h10 sur France 3

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