Le Voyageur (France 3) : Bruno Debrandt : "Il ne faut surtout pas se 'pantouflardiser'"

Vous êtes désormais bien installé dans le rôle de Yann Kandinsky…

Bruno Debrandt : Pas tant que cela, j’espère. Puisque mon personnage voyage, il faut à chaque fois le réinventer au maximum. Ça doit rester une obsession permanente. Il ne faut surtout pas se « pantouflardiser ».

Ce n’est pas le cas, dans cet épisode, où vous faites de la spéléologie. Quelles ont été vos sensations ?

Moi qui voulais être explorateur, si l’on me dit : « Tu vas faire un peu de canyoning, de spéléo », ça m’excite à mort. J’ai trouvé aussi très drôle d’amener Kandinsky sur ce terrain. Ce mâle alpha perd d’un seul coup toute fierté. C’était bien de le taquiner.

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Comment s’est passée votre collaboration avec Bruno Solo, qui joue ici un gendarme ?

En tournage, il réussit toujours à me calmer. Je ne sais pas si ça vient du prénom, mais on a une espèce de fraternité immédiate, une sensibilité assez proche. Faut pas que l’on se regarde trop tous les deux, sinon on a la larme à l’oeil.

On vous verra aussi, cette semaine, dans une mini-série, Rivière perdue (jeudi 11, TF1, 21.10), et, plus tard, dans le téléfilm Inès et Yvan (France 2). Et il est également question d’un film

Oui. Les Vampires d’Avallon, autoproduit avec une bande de copains. C’est un peu la rencontre entre La Fiancée de Frankenstein et Dupont Lajoie. C’est le cinéma et le ton libre qu’on adore. Reste à le vendre, probablement à une plateforme.

Le Voyageur, samedi 6 janvier à 21h10 sur France 3

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