TÉMOIGNAGE. "Travailleur du sexe pendant 3 ans, j'y ai découvert une dimension sociale inattendue"

Travailleur du sexe, Maximilien, 24 ans, l’affirmait auprès du journal Zep Media : s’il avait démarré ce métier, c’était pour l’argent et son côté subversif. Néanmoins, après trois années passées dans ce domaine, il y a découvert une dimension sociale à laquelle il ne s’attendait pas.

Fasciné par l’érotisme, le risque et l’inconnu, Maximilien voulait surtout se revendiquer comme appartenant à une « minorité polémique ». Mais devenir escort boy était surtout un moyen de gagner de l’argent facilement.

Travailleur du sexe par fascination et goût pour la transgression

Sous le nom de Lucius, Maximilien voit son travail d’escort boy comme un « rite de passage à l’âge adulte ». Ce choix, s’il le fait pour l’argent facile, il le fait également pour briser un tabou et un interdit. « J’avais la liberté de pouvoir me réinventer notamment en me créant un personnage » affirmait-il. Évidemment, ce métier subversif, il l’aime pour l’esprit qu’il dégage. Un moyen de s’affirmer. D’autant qu’en plus de l’argent qu’il reçoit contre ses services et sa présence, Maximilien se voit proposer d’autres contreparties. « Des repas à l’hôtel, des bouteilles de vin et de champagne, de la coke… » énumérait-il. Des cadeaux qui ne le laissent pas de glace.

Travailleur du sexe à la clientèle très aisée

Ses clients ? Des gens aisés sur le plan aussi bien social qu’économique. Aussi, Maximilien ajuste ses tarifs (...)

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