TÉMOIGNAGE. "Mon fils a été rejeté par une trentaine d'écoles"

Dans quatre semaines seulement, Harley devra quitter son école primaire de Gillingham. Pourtant, aucune solution de continuité scolaire ne semble se dessiner. Kelly Adams a multiplié les démarches en collaboration avec le responsable des besoins éducatifs spéciaux (SEN) de la mairie, explique The Mirror. Ensemble, ils ont envoyé le dossier retraçant le parcours scolaire d'Harley (EHCP) à de nombreux établissements spécialisés. Malheureusement, aucun d'entre eux ne serait en mesure d'accueillir l'enfant en raison de la complexité de ses besoins. Une situation qui fait craindre à la mère célibataire une régression scolaire pour Harley, notamment s'il devait rester trop longtemps hors d'un cadre éducatif structuré. Si son école actuelle lui a permis de s'épanouir, son avenir scolaire reste pour l'heure incertain. Harley est autiste, ne communique pas verbalement et ne peut se concentrer que sur des périodes très courtes en raison de ses capacités cognitives. Pourtant, contrairement à ce que l'on pourrait penser, il préfère l'environnement stimulant d'une grande école à celui d'un petit établissement indépendant.

"On ne peut pas lui demander de rester enfermé à la maison. Il serait trop limité"

Face à cette situation inextricable, Kelly Adams se tourne vers la direction de l'école primaire de son fils, Danecourt School, espérant qu'elle puisse envisager d'accueillir des enfants plus âgés. "Chaque année, ils rencontrent des difficultés pour (...)

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