Sportive de haut niveau, elle se retrouve addict au crack et accusée de meurtre en quelques mois

Âgée de 25 ans, Justine T. se tenait récemment débout dans le box des accusés, bien loin de son image d'athlète de haut niveau, explique Le Parisien. Née d'un père schizophrène et accro au crack et d'une mère négligente, Justine se retrouve très tôt placée à l'Aide Social à l'Enfance (ASE). Entre ses trois et quatre ans, la fillette sera même placée en famille d'accueil avant d'être récupérée par sa grand-mère maternelle, une femme originaire du Mali, réputée pour sa foi et ses règles de vie très strictes. Mais si Justine T. se retrouve désormais à faire face à la justice, c'est en raison de son implication dans le meurtre en 2021 de Kelyan, un jeune homme handicapé de 22 ans à l'époque des faits. Pourtant, rien ne semblait prédestiner la jeune Justine à cette situation. C'est à l'âge de 11 ans, alors scolarisée à Melun, que Justine T. se découvre une véritable passion pour le tennis. Rapidement, elle excelle dans ce sport. Elle entame un cursus sport-études et déménage chez sa grand-mère paternelle, Claudine. À 13 ans, la ligue de tennis de Seine-et-Marne repère la jeune fille, qui, deux années d'affilée, sera championne du département. Suite à ça, Justine T. obtient le statut de sportive de haut niveau et est sérieusement accompagnée par l'INSEP, l'Institut national du sport, de l’expertise et de la performance. Mais Justine T. se donne du mal dans ses études, les difficultés financières se font sentir et finissent (...)

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