Ce soir à la télé : des cowboys crasseux, la musique d'Ennio Morricone... On dirait un western de Sergio Leone !

Lost Films
Lost Films

Un jeune aventurier nommé "Personne" croise sur sa route une figure mythique de l'Ouest, Jack Beauregard, alors que "la horde sauvage", une bande de 150 tueurs, fait régner la terreur à travers plusieurs états...

Ce pitch qui donne sacrément envie de se poser dans son canapé, c'est celui de Mon nom est personne, un western spaghetti culte écrit par le grand Sergio Leone, avec en tête d'affiche les excellents Terence Hill et Henry Fonda. Un petit régal à (re)découvrir ce soir sur C8.

Un méta-western

Pas franchement fan des westerns parodiques qu'inspirèrent sa célèbre "Trilogie du dollar" (Pour une poignée de dollars, Et pour quelques dollars de plus et Le Bon, la brute et le truand) et sa réinvention du western (spaghetti), Sergio Leone a conçu Mon nom est Personne (réalisé par son ancien assistant Tonino Valerii) de manière à évoquer la dégénérescence d’un genre.

L'idée était précisément de confronter une figure du western traditionnel à celle du western façon Enzo Barboni. Mon nom est Personne, sorti en 1973, est donc un méta-western qui illustre l’évolution d’un genre en même temps que la fin d’une ère, à la veille du 20e siècle.

"Au début des années 70, constatant avec dépit que le médiocre western parodique italien On l’appelle Trinita remportait plus de succès que ses propres films, Sergio Leone décide de contre-attaquer : il imagine et produit un western comique qui propulse Terence Hill, le guignol bellâtre qui fait rigoler la…

Lire la suite sur AlloCiné

Plus belle la vie en avance : ce qui vous attend dans l'épisode 35 du vendredi 23 février 2024 [SPOILERS]

Tout cela je te le donnerai avec David Kammenos : la fin de la série France 2 expliquée

Vous avez aimé William (Archie Renaux) dans Surclassée ? Il joue dans deux autres films sur Prime Video !

Marvel : Kumail Nanjiani a été très affecté par les mauvaises critiques des Eternels

The Patriot : l'histoire vraie du personnage de Mel Gibson est moins glorieuse qu'au cinéma

Micheline Presle, légende et doyenne du cinéma français, nous a quittés à l'âge de 101 ans