Renault Clio (2012-2019) : à combien de kilomètres faut-il la vendre ?

Parler de la Clio à un Français, c’est comme discuter Polo avec un Allemand. Tout le monde connaît cette voiture, a des souvenirs avec, et connaît au moins une personne qui en possède une ! Petite citadine compacte et agile, la Clio devait reprendre le flambeau des R5 et Supercinq ! Celui d’assurer des trajets en ville comme en longue distance de manière économique. La Clio 1 était sortie en 1990, suivie par Clio 2 en 1998. Ce second opus assoira définitivement la réputation du modèle, toujours en production à l’heure actuelle, et désormais à sa cinquième génération. Aujourd’hui, nous revenons sur la Clio 4, c’est-à-dire celle vendue entre 2012 et 2019. Voici les principales motorisations disponibles lors de son lancement, ainsi que les problèmes que cette génération peut fréquemment rencontrer.

Une citadine vraiment polyvalente

En essence comme en diesel, la Clio 4 proposait un très grand nombre de moteurs et de variantes différentes. En entrée de gamme essence, elle démarrait avec un bloc atmosphérique 1.2l de 75 chevaux, secondé par un 0.9l turbo de 90 chevaux. S’en suivait deux blocs plus vigoureux : un 1.2 TCe de 110 chevaux, et un 1.6 turbo de 200 chevaux. En gazole, on ne retrouvait que le fameux et éprouvé bloc 1.5 DCi. Il était disponible en trois configurations, de 75, 90 ou 110 chevaux. Alors, ces différentes motorisations sont-elles fiables ? Quels sont les disfonctionnements récurrents que l’on peut retrouver sur la Clio 4 ?