La réglementation des navires transocéaniques a réduit l'introduction d'espèces invasives dans les Grands Lacs

Au cours des deux derniers siècles, des populations établies de près de 190 espèces non indigènes d'invertébrés, de poissons, de plantes et de microbes ont été découvertes dans le bassin des Grands Lacs. Elles ont été introduites par plusieurs sources et voies d'accès, notamment les canaux, les animaux de compagnie, le déversement de seaux à appâts, les fuites provenant de l'aquaculture et, surtout, le rejet de l'eau de ballast des navires transocéaniques. Les citernes de ballast des navires peuvent contenir toutes sortes d'invertébrés, de larves de poissons et d'énormes quantités de phytoplancton et de zooplancton à divers stades de développement.