PSG-Rennes: "une version encore meilleure", Luis Enrique toujours aussi fan de Dembélé dans l’axe
Luis Enrique persiste et signe avec Ousmane Dembélé. L’entraîneur du PSG a encore encensé son attaquant mercredi après la victoire du PSG face à Rennes (1-0) en demi-finale de la Coupe de France. Il défend aussi son positionnement dans l’axe de l’attaque où le champion du monde apporte, selon lui, un plus grand déséquilibre que sur un côté.
"Un joueur que l'on ne peut quasiment pas arrêter"
"Ousmane Dembélé est un joueur très doué techniquement", a rappelé Luis Enrique en conférence de presse. "Je dirais qu'il est presque imbattable avec ses deux jambes. On ne sait pas s'il va à droite, à gauche. Je pense qu'en jouant à l'intérieur, nous trouverons une version encore meilleure d'Ousmane. Je ne m'inquiète pas du fait qu'il ne soit peu efficace dans la surface. Va-t-il y remédier? Je suis sûr qu'il va s'améliorer parce qu'on le voit s'entraîner. Ce qu'il génère par ses actions est très positif pour l'équipe et c'est un joueur que l'on ne peut quasiment pas arrêter."
Mercredi, l’ancien joueur du Barça s’est créé une belle occasion en première période en signant un joli slalom sur Arthur Théate et Baptiste Santamaria avant de dévisser sa frappe hors du cadre (26e). Un raté qui illustre le manque de réussite de l’ancien joueur de Dortmund face au but cette saison (un seul but en 34 matchs toutes compétitions confondues).
Luis Enrique avait aligné "Dembouz" dans cette position axiale lors du 8e de finale retour de la Ligue des champions sur le terrain de de la Real Sociedad (1-2), puis dimanche dernier lors de la victoire parisienne à Marseille (0-2). Si son positionnement laisse sceptique certains supporteurs parisiens, il avait considérablement gêné les joueurs de la Real Sociedad qui avaient peiné à s’adapter.
"Notre objectif était clairement de créer une supériorité à l’intérieur et d’utiliser un joueur comme Ousmane Dembélé qui, dos au but, est unique et est capable de jouer des deux côtés. Il est capable de jouer en une ou deux touches sans perdre le ballon", avait alors expliqué Luis Enrique. Un mois plus tard, il n’a pas changé d’avis.