Il se prend pour Christian Grey, ses violents ébats diffusés en plein tribunal à son procès pour viols

Lorsque les fantasmes érotiques se mêlent à la réalité judiciaire, l'histoire se teinte souvent d'une couleur sombre. Au cœur d'un procès retentissant, la figure d'Ange Bauda émerge, rappelant étrangement le protagoniste de la célèbre saga Cinquante Nuances de Grey. Mais derrière cette fascination pour les pratiques BDSM se cachent des actes d'une violence inouïe, projetés sans pudeur devant les regards scrutateurs d'une cour d'assises, comme l'explique Le Parisien. Entre désir, consentement et terreur, le récit de ce procès révèle les tréfonds d'une noirceur insoupçonnée. Alors que les débats s'ouvrent à huis clos, l'ombre de Christian Grey plane sur la salle d'audience, incarnée par la défense d'Ange Bauda qui invoque le consentement dans des jeux de domination. Mais derrière cette façade de consentement éclairé se dissimulent les cris étouffés des victimes, réduites au silence par la terreur et la contrainte. Le récit des plaignantes se tisse sur la trame de leur effroi, dévoilant les contours d'une relation dans laquelle le jeu a cédé le pas à la cruauté.

Des pratiques inspirées de Cinquante Nuances de Grey

Au cœur de ce procès, plus de 2 000 vidéos ont été diffusées comme autant de témoins silencieux d'une descente aux enfers. Les images, aussi troublantes que révoltantes, révèlent les ébats violents entre Ange Bauda et ses anciennes partenaires, capturant l'essence même de la terreur de ces femmes. Derrière chaque (...)

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