La pollution de l'air associée à un risque accru de développer Alzheimer : voici comment vous prémunir

Nous savons que la pollution de l'air est généralement mauvaise pour la santé humaine, notamment pour le cerveau. Une nouvelle étude de l’université Emory, aux États-Unis, révèle que les adultes exposés à des niveaux élevés de pollution atmosphérique courent un risque accru de développer la maladie d’Alzheimer. La bonne nouvelle est qu’en assainissant notre environnement, nous pouvons contribuer à diminuer les risques de dégénérescence cérébrale. Les scientifiques ont analysé les données de 1 113 participants âgés de 45 à 75 ans, originaires de la même région. Ils ont trouvé des biomarqueurs positifs de la maladie d'Alzheimer dans le liquide céphalorachidien des participants exposés à la pollution de l'air ambiant et de l'air lié à la circulation à leur domicile. Ces travaux, publiés par la revue Environmental Health Perspectives, viennent s'ajouter à un ensemble croissant de preuves indiquant que la pollution atmosphérique contribue directement à la dégénérescence du cerveau.

Une période sensible d’exposition

"Dans notre étude précédente, nous avons montré des associations entre l'exposition résidentielle à la pollution atmosphérique et les changements cérébraux liés à la maladie d'Alzheimer. Maintenant, nous avons trouvé des résultats similaires dans une étude d'adultes vivants qui étaient en moyenne 15 ans plus jeunes et cognitivement sains", déclare Anke Huels, auteur principal de l'étude. "Ces conclusions (...)

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