Pollen, alimentation, cosmétique... Les solutions pour se protéger des allergies

Le terme d’épidémie est mis à toutes les sauces. Épidémie de diabète, d’obésité, d'addictions… mais aussi d’allergies. Étant donné les prévisions de l’Organisation mondiale de la santé, il faudrait même parler de pandémie puisqu’en 2050 une personne sur deux sera allergique. La France n’échappe pas à ce phénomène. Alors que, durant les années 1970, nous n’étions que 2 à 3 % à souffrir de ce mal, ce taux atteint aujourd’hui environ 30 %. Résultat : elles arrivent en quatrième position au palmarès des pathologies chroniques dans le monde, derrière le cancer, les maladies cardiovasculaires et le sida.

Qu’elle soit respiratoire, alimentaire ou de contact, aucun type d’allergie n’échappe à ce boum. Les substances qui dérangent des centaines de millions de personnes sont apparemment inoffensives : acariens, pollens et chats forment le trio de tête, suivis de près par les aliments de consommation courante que sont les œufs, l’arachide et le lait de vache. Les allergies alimentaires, rares il y a trente ans, touchent aujourd'hui 7 à 8 % des enfants en France. Le nombre de chocs anaphylactiques, la manifestation la plus grave de l’allergie qui peut être fatale, a été multiplié par quatre en vingt ans.

Dans l’allergie, c’est le système immunitaire qui déraille. Parfois, aucun terrain génétique n’est impliqué mais, le plus souvent, les personnes atteintes "sont prédisposées génétiquement à produire des anticorps, c’est ce que l’on appelle le terrain atopique", explique le Dr Jean-Marie Nguyen, (...)

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