Phytothérapeute, homéopathe, naturopathe... Sont-ils (vraiment) des professionnels de santé ?

Les médecines alternatives et complémentaires (MAC) ont le vent en poupe depuis maintenant plusieurs années. Si tout le monde a déjà entendu parler de l'ostéopathie, de l'homéopathie ou encore de l'aromathérapie, l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) recense à ce jour plus de 400 pratiques thérapeutiques "alternatives", "complémentaires" ou "traditionnelles" à travers le monde. Souvent bénéfiques en complément des traitements "classiques" (on pense, par exemple, à la sophrologie reconnue comme un soin de support en cas de cancer du sein, ou encore à l'aromathérapie employée en appui des traitements anti-insomnie), les MAC présentent parfois des risques – entre contre-indications pas toujours claires, manque de rigueur scientifique ou dérives sectaires. Ce qui est souvent reproché aux médecines alternatives, c'est le fait que n'importe qui peut se déclarer "thérapeute" du jour au lendemain, parfois même sans la moindre formation scientifique. A contrario, la médecine dite "conventionnelle" est enseignée à la faculté et ne peut être pratiquée que par des professionnels de santé diplômés – médecins généralistes, pédiatres, psychiatres, kinésithérapeutes... Or, ce n'est pas toujours vrai : certaines médecines alternatives et complémentaires (MAC) font l'objet d'une véritable formation médicale, sérieuse et reconnue par les autorités de santé. Tour d'horizon.

Le phytothérapeute est (souvent) un professionnel de santé

Jusqu'en (...)

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