Yahoo Actualités OSS 117 : Alerte rouge en Afrique Noire (W9) - Jean Dujardin : "J’avais tellement hâte de retrouver ma cour de récré"
" Dès que je me retrouve dans la tenue d’Hubert, avec un flingue à la main et sa coupe de cheveux, c’est chimique ! Le rire, le timbre de voix et la position de mâle dominant qui le caractérisent me reviennent aussitôt. Comme si tout était archivé dans mon cerveau. Avant même d’apprendre le texte, j’avais le personnage en moi. Le désir était tel. Depuis si longtemps. J’avais tellement hâte de retrouver ma cour de récré"», explique Jean Dujardin. Les nombreux aficionados de la saga culte d’espionnage trépignaient aussi depuis douze ans de retrouver l’inimitable Hubert Bonisseur de La Bath. « Ce con sublime », dixit son génial interprète.
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On a quitté OSS 117 au Brésil en 1967, nous le retrouvons en 1981, dans les derniers jours de la Giscardie. Si le monde et les mœurs ont changé, l’espion qu’on aime tant, lui, n’a pas varié d’un iota. Son machisme rance, son racisme colonial daté (à prendre évidemment au deuxième degré !) n’ont pas pris une ride. Coup de Trafalgar : pour aider un dictateur africain ami (contre des rebelles démocrates), l’arme fatale du SDECE (Service de documentation extérieur et de contre-espionnage) se voit préférer un gamin, OSS 1 001 ! Dans le rôle de la recrue groupie de son illustre aîné, Pierre Niney tutoie aussi le génie. Fan des deux précédents volets – il connaît les répliques par cœur –, l’acteur déclare avoir eu le sentiment d’avoir gagné au Loto quand on lui a proposé le rôle.
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Nicolas Bedos, qui a remplacé Michel Hazanavicius à la réalisation, confirme : "Quand Pierre a vu Jean débarquer sur le plateau dans son costume, il avait le même regard émerveillé que son personnage lorsqu’il rencontre Hubert pour la première foi...
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