Pour Noël, virée au pays… des langues imaginaires

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  • Les langues imaginaires (1/5). La plus aboutie : l’elfique de Tolkien

S’il ne fallait en citer qu’un, ce serait lui : John Ronald Reuel Tolkien, le champion toutes catégories en matière de création de langues imaginaires, ou “langues construites”. Ses langues elfiques, comme le sindarin et le quenya, sont les plus connues, mais elles ne représentent qu’une infime partie des langues recensées dans son univers. En réalité, il existe presque autant de langues que de peuples et de créatures dans la Terre du Milieu.

  • Les langues imaginaires (2/5). La plus geek : le klingon de “Star Trek”

Alors que le klingon n’est à l’origine qu’un élément secondaire de l’univers de Star Trek, le succès phénoménal de la série de science-fiction incite ses créateurs à l’étoffer. C’est le linguiste Marc Okrand qui met au point le vocabulaire et la grammaire de cette langue dont les fans ne tardent pas à s’emparer. Aujourd’hui doté d’un institut – le Klingon Language Institute –, le klingon est parlé par près de 2 500 personnes dans le monde. Qui peuvent également jouer au Scrabble ou lire Hamlet dans leur langue imaginaire favorite.

  • Les langues imaginaires (3/5). La plus télégénique : le haut valyrien du “Trône de fer”

Trois expressions – valar morghulis, valar dohaerys et dracarys –, voilà à quoi se résume le haut valyrien sous la plume de George R. R. Martin. Car si l’auteur de la saga littéraire évoque toutes sortes de langues dans son univers – le dothraki, la langue d’Asshaï, ou encore le skroth, la langue des Marcheurs blancs –, il n’en a livré qu’une poignée de mots. Le reste nous vient de David Peterson, linguiste chargé de développer les langues des continents d’Essos et de Westeros pour les besoins de la série.

  • Les langues imaginaires (4/5). La plus terrifiante : la novlangue d’Orwell

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