Nicolas (Koh-Lanta) : "Dans cette aventure, il vaut mieux avoir un brin de stratégie qu’un grand bol de riz"

D’après Pascal, le premier Corse de l’histoire de Koh-Lanta (finaliste de Koh-Lanta : Thaïlande, en 2016, et de l’édition du Combat des héros, en 2018), il n’y aurait pas plus gentil qu’un Corse…

Nicolas : Ah là là ! Qu’est-ce qu’on met derrière la gentillesse ? Pour ma part, je suis quelqu’un d’authentique. Je m’efforce d’être honnête dans ma vie de tous les jours. Je ne me prends pas au sérieux, j’aime plaisanter et, dans le travail, je suis assez opiniâtre. Je ne m’emballe pas pour rien, mais je ne suis pas un bisounours non plus. Face à la malhonnêteté, je peux montrer les crocs.

Chacun part à Koh-Lanta avec ses armes. Quelles sont les vôtres ?

La polyvalence. Physiquement, je suis plutôt en forme. Je m’entraîne régulièrement et suis aussi à l’aise sur terre que dans l’eau. De par mon expérience professionnelle, je sais cerner les gens assez vite. Au sein d’une équipe, je me suis toujours intégré facilement. Selon moi, ce sont des atouts pour Koh-Lanta.

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Un petit côté stratège ?

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