Nantes : “je veux me faire soigner…”, une mère condamnée après un mensonge ignoble raconté à sa fille

L'incroyable affaire qui a été jugée à Nantes mercredi dernier a bouleversé et choqué la communauté. Dans un monde dans lequel la confiance est déjà fragile, une mère a décidé de berner sa fille avec un mensonge aussi grave que dangereux, comme le rapporte Le Parisien. Elle lui a fait croire qu'elle était atteinte d'une leucémie, un cancer du sang qui, selon son type, peut s'avérer mortel pour le patient. Pour renforcer son récit, la mère de famille a lancé une cagnotte en ligne, sollicitant l'aide financière de bienfaiteurs. Et comme si cela ne suffisait pas, le stress et l'anxiété générés par ce mensonge ont fini par rendre la petite fille malade.

Une enfant victime d'un mensonge qui va beaucoup trop loin

L'affaire a commencé en 2020 lorsque Michèle F., la mère, a convaincu sa fille qu'elle avait une leucémie. Pour ajouter à la tromperie, Michèle a lancé une cagnotte Leetchi, qui a recueilli 2 815 euros auprès de 92 donateurs. Beaucoup d'entre eux étaient des proches, des amis et même des parents d'élèves de l'école de La Planche dans laquelle la jeune fille était scolarisée. Pour rendre le mensonge plus crédible, Michèle a même coupé les cheveux de sa fille et l'a forcée à porter un bandana pendant une année scolaire entière. Dans la description de la cagnotte en ligne, elle écrivait, avec des fautes d'orthographe, que sa fille commençait à perdre ses cheveux et qu'elle souhaitait avoir des cheveux comme Elsa, l'un des personnages (...)

Lire la suite sur Closer

Astrologie 2023 : la semaine du 16 au 22 octobre sera-t-elle bénéfique pour votre signe ?
"J’ai franchement été très naïve…" : Estelle Denis au bord des larmes sur le plateau de Quelle époque !
Attentat d’Arras : le comportement honteux d’un joueur des Bleus en pleine minute de silence
Leonor d’Espagne amoureuse à l’armée ? Cette séquence filmée avec un jeune cadet qui lance la rumeur
Une jeune fille de 18 ans multiplie les consultations pour des douleurs à l’estomac, un diagnostic tardif lui coûte la vie