« On m’a diagnostiqué un cancer de la vulve : voici le symptôme qui aurai dû m'alerter depuis des années »

« J’avais 27 ans et mon fils avait environ 9 mois lorsque j’ai repéré une tache sur ma vulve ». Mal à l’aise dans ses pantalons, Louise, était également freinée dans ses rapports sexuels. Professeure de Pilates domiciliée à Londres, elle confie pour nos confrères de Glamour UK être allée consulter son médecin lorsque la tache est devenue ulcérée et noircie. La biopsie que Louise a pratiquée ensuite était sans appel : l’Anglaise souffrait d’un cancer de la vulve très agressif. Le cancer de la vulve est un cancer féminin rare (3 à 5 % des cancers chez la femme. En principe, il est plus fréquemment retrouvé chez les femmes ménopausées. Ce cancer se développe à la suite de lésions dites précancéreuses pouvant être liées à une infection au Papillomavirus (HPV) ou non (maladie de Paget, lichen scléro-atrophique ou scléreux par exemple). Elles peuvent passer inaperçues et n’entraîner aucun symptôme, ou s’associer à des sensations de démangeaisons et de brûlures. Il est important de ne pas négliger des démangeaisons vulvaires qui persistent malgré un traitement antimycosique, et consulter un médecin gynécologue, une sage-femme ou un médecin généraliste. Les facteurs de risque ? Notamment le tabac, l’âge, une infection à HPV au niveau du col, de la vulve ou du vagin, et une immunodépression liée à un traitement ou congénitale.

« Ils ont fini par retirer mes petites lèvres gauches »

Pour Louise, l’urgence était (...)

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