Mélenchon, Bardella, Tondelier... La lettre de Macron fait fulminer les oppositions

Levée de boucliers de droite à gauche. Ce mercredi 10 juillet, Emmanuel Macron a demandé aux « forces politiques se reconnaissant dans les institutions républicaines » de « bâtir une majorité solide» et qu'il nommera un nouveau Premier ministre lorsque les partis auront construit des « compromis », ce qui suppose de leur laisser « un peu de temps ».

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Après cette missive adressée aux Français, plusieurs figures de la classe politique ont accueilli avec colère les conditions posées par le chef de l'État pour former un nouveau gouvernement. Alors que la coalition de gauche revendique le plus gros contingent de députés après le second tour des législatives, le patron de la France Insoumise, Jean-Luc Mélenchon s'est indigné des quelques lignes dressées par le président dans les colonnes de la presse régionale.

« Coalition par magouilles »

« C'est le retour du droit de veto royal sur le suffrage universel. Il prétend donner du temps pour former une autre coalition par magouilles après les élections ! C'est le retour des intrigues de la IVe République. Ça suffit. Il doit s'incliner et appeler le Nouveau Front Populaire. C'est tout simplement la démocratie » a-t-il écrit sur X.

« Son déni abîme le pays et la démocratie. Ça fait 7 ans qu’on nous sert le en même temps à toutes les sauces. Mais on ne peut pas perdre et gagner en même temps. Il faut accepter le verdict des urnes du 1...


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