Lycée Toulouse-Lautrec (TF1) - Stéphane De Groodt : "Proviseur, je ne savais même pas ce que c’était !"

Votre dernier rôle à la télévision, dans Kaboul Kitchen (saison 3), remonte à 2017. Pourquoi avoir attendu aussi longtemps avant de tourner de nouveau pour le petit écran ?

Stéphane De Groodt : J’ai besoin d’avoir le coeur qui bat pour m’engager dans un projet. Si je ne vibre pas pour un personnage, je n’y vais pas. J’attends donc que mon désir s’éveille, à chaque fois.

Et pourquoi avez-vous choisi Lycée Toulouse-Lautrec ?

Lorsque Fanny Riedberger, la créatrice et coscénariste de la série, m’a fait lire le scénario, j’ai immédiatement été emballé par le projet. La manière de traiter le handicap, mais aussi l’humanité et l’émotion qui se dégageaient des personnages m’ont touché de plein fouet. C’est un monde très vivant, très drôle, plein d’autodérision. Il faut que tout le monde le sache. J’espère que cette série donnera aux téléspectateurs des clés pour que leur regard change.

Vous prêtez ici vos traits au proviseur Feuillate. En quoi ce rôle a-t-il fait écho en vous ?

C’est une pure composition. Proviseur, je ne savais même pas ce que c’était ! Enfant, j’étais dyslexique. Je ne comprenais rien aux cours et j’ai eu une scolarité difficile. Dans ma jeunesse, je me projetais dans deux univers : la course automobile et la comédie. Deux rêves que j’ai ac...

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