Lizzy Caplan succède à Glenn Close dans l’adaptation de Liaison fatale : "Ce n’est pas mon travail de juger mon personnage"

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De quelle manière la série, et par extension votre personnage Alex, s’émancipent du film original ?

Lizzy Caplan : Comme c’est une mini-série, nous avons plus de temps. On passe de 2h, à 8h. ce qui permets d’explorer davantage ce qu’il se passe dans la tête des personnages. On découvre l’enfance d’Alex, sa relation avec son père, et toutes les choses qui l’ont conduites à agir de manière aussi désespérée face à cet homme marié. De la même manière, on passe d’avantage de temps avec Dan, avec sa famille.

Qu’est-ce qui vous a séduit dans ce projet en particulier ?

Je prends les choses comme elles viennent. Etant une grande fan du film, j’ai aimé l’idée de m’engager dans son adaptation. J’estimais que c’était l’un des rares films cultes qui pouvait bénéficier d’un regard plus moderne.

Malgré sa folie, avez-vous essayé de comprendre Alex, de vous mettre à sa place ?

Complètement. Ce n’est pas mon travail de juger mon personnage. J’estime que ma mission est de donner du sens à ses actions. Elle est l’héroïne de sa propre histoire, et sur le moment, dans son esprit, les décisions qu’elle prend sont légitimes.

Connaissiez-vous Joshua Jackson avant le tournage, professionnellement ou personnellement ?

Evidemment, j’avais regardé quelques épisodes de Dawson quand j’étais jeune. Mais nous ne nous étions jamais rencontré auparavant, ce qui est étonnant compte tenu qu’on fait tous les deux ce métier depuis plus de vingt ans.

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