L'Etrangleur de Boston : comment la culpabilité du tueur en série a-t-elle été confirmée 50 ans plus tard ?

Le 8 juillet 1962, le Sunday Herald consacrait un article à "l'Etrangleur Fou de Boston", un tueur en série qui avait assassiné 13 femmes célibataires âgées de 19 à 85 ans dans la célèbre capitale du Massachusetts. Le mode opératoire de celui qu'on surnomme aussi le "Fantôme Démon" a de quoi glacer le sang : la plupart de ses victimes sont agressées sexuellement puis étranglées à leur domicile. En l'absence de traces d'effractions, la police conclut que les victimes ont laissé entrer volontairement leur agresseur, soit parce qu'elles le connaissaient, soit parce qu'elles le prenait pour un agent de service. Alors que les crimes se poursuivent, la panique saisit les habitants de Boston. Certains foyers s'équipent de gaz lacrymogènes, d'autres installent de nouvelles serrures quand certaines femmes déménagent.

Il aura fallu attendre une cinquantaine d'années pour confondre l'Etrangleur Fou de Boston grâce à son ADN. Dans un article paru en 2013 dans le Boston Herald, on apprend qu'un policier avait récupéré une bouteille d'eau en plastique jetée par un certain Albert DeSalvo, poignardé en prison en 1973. La découverte avait aussitôt rouvert l'enquête, un procureur du Massachusetts autorisant même d'exhumer le corps du meurtrier dans le cadre d'une nouvelle expertise médico-légale. "L'ADN prélevé à partir d'une trace de sperme présente (...)

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