L’inclusion, un impératif de droit et d’esprit

Inclusion et la politique Lorsque l'on pré-juge de l'autre – de son identité, de ses intentions, de ses projets, etc. – on l'enferme dans les projections qu'on a et fait de lui ou elle qui dépendent du passé. L'on est soi-même phagocyté par le passé. On entraîne alors l'autre dans le trou noir de nos remords, de nos ressentiments, de nos haines, de nos habitudes de considérer l'autre « comme ceci ou cela ».