JO et science, "contrôleurs d'élite" du VIH et bipédie des dinosaures : l'actu des sciences en ultrabrèves
Au sommaire des ultrabrèves du 14 mai 2024 : les scientifiques au cœur de la performance sportive, la mystérieuse résistance des "contrôleurs d’élite" du VIH et la bipédie des gros dinosaures théropodes expliquée.
L’actualité scientifique du 14 mai 2024, c’est :
En Santé : Jeux Olympiques : derrière chaque performance sportive se cache un scientifique.
Dans les laboratoires du Centre d'Aide à la Performance Sportive de l'Université Libre de Bruxelles, les athlètes de haut niveau voient leurs performances disséquées au profit d'un coaching personnalisé.
Les chercheurs évaluent la composition corporelle, les habitudes alimentaires et la performance neuromusculaire afin d'adapter l'entraînement des athlètes en vue, notamment, des Jeux Olympiques.
L'approche intégrée du CAPS, combinant des équipements de pointe et une expertise scientifique, vise à minimiser les risques de blessures et à améliorer les performances des athlètes de haut niveau.
En Santé : Sida : les "contrôleurs d'élite" du VIH livrent une partie de leurs secrets.
Une étude publiée dans la revue Communications Medicine révèle que les "contrôleurs d'élite" du VIH, qui ne développent pas la maladie et représentent 0,5% des personnes infectées, ont une faible production d'interféron alpha (IFN-a) contrairement aux patients infectés.
Cette découverte suggère que la résistance au VIH chez ces individus pourrait être liée à cette caractéristique, ouvrant une nouvelle piste pour contrer la propagation du virus.
Neutraliser la production initiale d'IFN-a pourrait aider à enrayer la propagation initiale du virus dans l'organisme.
En Paléontologie : Comment les gros dinosaures théropodes tenaient-ils sur deux pattes ?
Les gros dinosaures théropodes, tels que le Tyrannosaurus rex et le Spinosaurus, maintenaient leur bipédie grâce à des adaptations anatomiques spécifiques, notamment au niveau de leurs fémurs et de l'attache musculaire entre la patte et la queue.
Ces adaptations étaient partagées par toutes les lignées de théropodes, qu'ils aient évolué vers le gigantisme ou la miniaturisation, indiquant que c'était la solution universelle pour supporter leur poids ou s'ajuster à de nouveaux habitats.
Le fait que ces tra[...]
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