JO de Paris 2024: la liste complète des candidats pour être porte-drapeau de la délégation olympique française

Qui succèdera à Clarisse Agbégnénou, Samir Aït-Saïd, Stéphane Houdet et Sandrine Martinet? La liste des candidats à la fonction de porte-drapeau de la délégation tricolore à la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques (26 juillet) et paralympiques (28 août) a été dévoilée au siège du CNOSF (Paris) ce jeudi.

La liste des candidats à la fonction de porte-drapeau de la France à la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris:

  • Wendie Renard (football)

  • Mélina Robert-Michon (lancer du disque)

  • Florent Manaudou (natation)

  • Charlotte Bonnet (natation)

  • Estelle Mossely (boxe)

  • Sofiane Oumiha (boxe)

  • Enzo Lefort (escrime)

  • Pauline Ranvier (escrime)

  • Earvin Ngapeth (volley)

  • Romane Dicko (judo)

  • Renaud Lavillenie (perche)

  • Laetitia Guapo (basket)

  • Jean-Baptiste Bernaz (voile)

  • Camille Lecointre (voile)

La liste des candidats à la fonction de porte-drapeau de la France à la cérémonie d’ouverture des Jeux paralympiques de Paris:

  • Nantenin Keita (para-athlétisme)

  • David Smétanine (para-natation)

  • Nalia Barbosa (para-canoë)

  • Alexis Hanquinquant (para-athlétisme)

Chaque fédération avait la possibilité de présenter deux candidats, un homme et une femme. Cette liste de candidats va désormais être soumise début juillet au vote (par voie électronique) de tous les athlètes sélectionnés, une fois les sélections bouclées. Le résultat sera connu mi-juillet. Il s'agit d'un suffrage direct, un vote vaut une voix. Le binôme choisi à l’issue du vote ne pourra pas appartenir à la même fédération.

Les conditions pour postuler étaient de ne jamais avoir été porte-drapeau, avoir déjà participé aux Jeux olympiques et répondre à des critères d’exemplarité tout en respectant et incarnant les chartes olympiques. De nombreuses fédérations n’ont pas souhaité présenter des candidats. Le basket, par exemple, doit débuter sa compétition à Lille au lendemain de la cérémonie d’ouverture. Difficile, donc, de laisser un élément à 200 kilomètres la veille d’une rencontre cruciale. Le problème se posait aussi pour le surf, le spot étant à Teahupo’o (Tahiti) à 18.000 kilomètres de Paris.

Article original publié sur RMC Sport