Jean-Michel Blanquer dément sa candidature pour la présidence de Versailles

L'Élysée a-t-il trouvé un point de chute à Jean-Michel Blanquer ? L'ancien ministre de l'Éducation nationale, qui a quitté le gouvernement après sa défaite aux législatives, avait fait sa rentrée à l'université Paris-Panthéon-Assas, où il dispense, depuis, des cours de droit. Un poste qui pourrait bien être temporaire, selon Le Figaro, qui révèle que l'ancien membre du gouvernement pourrait être nommé à la tête du château de Versailles.

Samedi soir, Jean-Michel Blanquer a fermement démenti auprès du Point : « Je n'ai pas été, ne suis pas candidat ni ne le serai à la présidence du château de Versailles. C'est une rumeur sans fondement. »

Rien n'est cependant acté, et d'autres candidats briguent ce poste. Parmi eux, un ancien collègue de Jean-Michel Blanquer, Jean-Baptiste Lemoyne, ancien ministre responsable du Tourisme, puis des PME lors du premier mandat d'Emmanuel Macron, qui serait également bien placé. Sauf que « la ministre de la Culture n'est pas en faveur de ces propositions », assure une source du dossier. D'autres choix, moins politiques, sont possibles, comme Jean d'Haussonville, actuel président du domaine de Chambord, Sophie Makariou, présidente du musée Guimet, ou Camille Pascal, écrivain et ancien conseiller de Nicolas Sarkozy.

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