IVG en France, massacre à Gaza et funérailles de Navalny... La semaine en photos

Le 28 février 2024, à Paris. Une manifestation organisée par le mouvement Abortion in Europe, devant le Sénat.. PHOTO KIRAN RIDLEY/AFP
Le 28 février 2024, à Paris. Une manifestation organisée par le mouvement Abortion in Europe, devant le Sénat.. PHOTO KIRAN RIDLEY/AFP

Le 28 février, le Sénat a voté le même texte que l’Assemblée nationale en faveur de l’inscription de l’IVG dans la Constitution. Une mesure qui, selon un sondage mené par l’Ifop en 2022, est soutenue par 86 % des Français : un fait “assez rare pour être souligné”, observe le quotidien belge Le Soir. Ce vote conforme ouvre la voie à l’adoption de cette réforme historique, une première mondiale, lors d’un Congrès convoqué à Versailles lundi 4 mars.

Le 29 février 2024, dans la ville de Gaza. Des Palestiniens transportent le corps d’une victime tuée par les soldats israéliens. . PHOTO AFP
Le 29 février 2024, dans la ville de Gaza. Des Palestiniens transportent le corps d’une victime tuée par les soldats israéliens. . PHOTO AFP
Le 29 février 2024, dans la ville de Gaza. Des Palestiniens transportent le corps d’une victime tuée par les soldats israéliens. . PHOTO AFP
Le 29 février 2024, dans la ville de Gaza. Des Palestiniens transportent le corps d’une victime tuée par les soldats israéliens. . PHOTO AFP

Le 29 février, à Gaza, des soldats israéliens ont ouvert le feu sur des civils rassemblés autour de camions d’aide humanitaire, tuant au moins 112 personnes. “Les condamnations du monde entier ont été unanimes” face à ce “massacre des affamés”, observe La Stampa. Pour Le Temps, cette tragédie incarne une “défaite stratégique” d’Israël, en montrant “le mépris et la peur des soldats israéliens à l’égard des Palestiniens”.

Le 1er mars 2024, à Moscou (Russie). Des personnes se réunissent lors des funérailles d’Alexeï Navalny, opposant à Vladimir Poutine. . PHOTO REUTERS
Le 1er mars 2024, à Moscou (Russie). Des personnes se réunissent lors des funérailles d’Alexeï Navalny, opposant à Vladimir Poutine. . PHOTO REUTERS
Le 1er mars 2024, à Moscou (Russie). Des personnes se réunissent lors des funérailles d’Alexeï Navalny, opposant à Vladimir Poutine. . PHOTO REUTERS
Le 1er mars 2024, à Moscou (Russie). Des personnes se réunissent lors des funérailles d’Alexeï Navalny, opposant à Vladimir Poutine. . PHOTO REUTERS

Le 1er mars, une foule de Moscovites s’est rassemblée dans la rue pour rendre hommage à Alexeï Navalny, mort le 16 février. Les funérailles ont eu lieu dans le cimetière de Borissovo, et des milliers de personnes ont scandé le nom de l’opposant à Vladimir Poutine, raconte The Washington Post. “Poutine est un meurtrier !” ont crié certains, rapporte Meduza. Une lourde présence de la police a rendu l’ambiance pesante.

Le 27 février 2024, à Brest. Charles Caudrelier arrive en tête de l’Arkéa Ultim Challenge, le premier tour du monde en solitaire sur trimaran géant. . PHOTO LOIC VENANCE/AFP
Le 27 février 2024, à Brest. Charles Caudrelier arrive en tête de l’Arkéa Ultim Challenge, le premier tour du monde en solitaire sur trimaran géant. . PHOTO LOIC VENANCE/AFP
Le 27 février 2024, à Brest. Charles Caudrelier arrive en tête de l’Arkéa Ultim Challenge, le premier tour du monde en solitaire sur trimaran géant. . PHOTO LOIC VENANCE/AFP
Le 27 février 2024, à Brest. Charles Caudrelier arrive en tête de l’Arkéa Ultim Challenge, le premier tour du monde en solitaire sur trimaran géant. . PHOTO LOIC VENANCE/AFP

Le 27 février, Charles Caudrelier a fini vainqueur de l’Arkéa Ultim Challenge, le premier tour du monde en solitaire sur trimaran géant. Le Français a parcouru 51 000 kilomètres à bord du Maxi Edmond de Rothschild durant 50 jours et 19 heures, rapporte le média spécialisé centenaire Yachting World, avant de franchir la la ligne d’arrivée à Brest.

Le 26 février 2024, à Sloviansk (Ukraine). Des locaux reçoivent l’aide humanitaire de l’ONG Responsible Citizens dans le contexte de l’invation russe. . PHOTO ANATOLII STEPANOV/AFP
Le 26 février 2024, à Sloviansk (Ukraine). Des locaux reçoivent l’aide humanitaire de l’ONG Responsible Citizens dans le contexte de l’invation russe. . PHOTO ANATOLII STEPANOV/AFP
Le 26 février 2024, à Sloviansk (Ukraine). Des locaux reçoivent l’aide humanitaire de l’ONG Responsible Citizens dans le contexte de l’invation russe. . PHOTO ANATOLII STEPANOV/AFP
Le 26 février 2024, à Sloviansk (Ukraine). Des locaux reçoivent l’aide humanitaire de l’ONG Responsible Citizens dans le contexte de l’invation russe. . PHOTO ANATOLII STEPANOV/AFP

“Nous ferons tout ce qu’il faut pour que la Russie ne puisse pas gagner cette guerre”, a déclaré Emmanuel Macron lors de sa conférence de soutien à l’Ukraine. Une formule qui a “créé l’événement”, rapporte la Süddeutsche Zeitung. En France, observe Politico, le chef de l’État “s’est attiré les foudres de tout l’échiquier politique pour ne pas avoir exclu le déploiement d’une présence militaire occidentale en Ukraine”, et aura du mal à assumer un rôle de leader mondial.

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