Obsèques d’Elizabeth II : Joe Biden pourra utiliser « The Beast », sa limousine blindée

Pour les funérailles de la reine Elizabeth II, le président des États-Unis Joe Biden a obtenu un passe-droit, à savoir qu’il pourra arriver avec sa limousine blindée plutôt qu’en bus comme les autres dirigeants mondiaux (photo prise dimanche 18 septembre à Londres).

Markus Schreiber / WPA Pool / Getty Images

Pour les funérailles de la reine Elizabeth II, le président des États-Unis Joe Biden a obtenu un passe-droit, à savoir qu’il pourra arriver avec sa limousine blindée plutôt qu’en bus comme les autres dirigeants mondiaux (photo prise dimanche 18 septembre à Londres).

FUNÉRAILLES D’ELIZABETH II - 2 000 invités de prestige et des bus qui transporteront certains des personnages les plus importants de la planète. Ce lundi 19 septembre ont lieu à Londres les funérailles de la reine Elizabeth II, l’occasion pour les têtes couronnées et dirigeants mondiaux de se retrouver dans la capitale britannique. Mais tous, à l’image du président des États-Unis Joe Biden, ne seront pas traités à la même enseigne.

Ainsi, le successeur de Donald Trump à la Maison Blanche a obtenu un passe-droit par rapport à certains de ses confrères, à savoir qu’il pourra utiliser son propre véhicule plutôt que d’arriver à bord de l’un des bus affrétés pour l’occasion.

Plaques de blindage et pneus renforcés au kevlar

C’est donc avec « The Beast », une énorme limousine blindée que les présidents américains se transmettent, que Joe Biden et son épouse Jill se rendront ce lundi aux premières funérailles d’État organisées outre-Manche depuis la mort de Winston Churchill.

Une voiture hors du commun, capable de résister à des attaques à la bombe et à des tirs d’arme à feu, grâce à des plaques de blindage épaisses de 20 centimètres (comme pour un avion de ligne), à des vitres constituées de cinq couches de polycarbonate et à des pneus renforcés avec du kevlar.

Un privilège auquel nombre de dirigeants n’auront pas droit. Ainsi, ce dimanche, le quotidien conservateur a ironisé, écrivant dans ses colonnes : « Peut-on avoir une petite pensée pour le responsable de l’Élysée qui a dû annoncer au président (français Emmanuel) Macron qu’à Londres, il devrait monter dans le bus ? » En l’occurrence, selon nos confrères de l’Agence France presse, le président de la République a refusé d’être convoyé en bus. Mais son mode de déplacement n’est pas encore connu.

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