“Il me fallait la validation du patron” : Patrick Fiori évoque la présence de Michel Drucker sur sa dernière chanson (VIDEO)

Patrick Fiori, chanteur phare de la scène française et coach bienveillant de "The Voice Kids", fait son retour avec son dernier album intitulé "Le chant est libre". Après le succès de son précédent opus "Un air de famille", vendu à plus de 150 000 exemplaires et porté par le tube "J'y vais" en duo avec Florent Pagny, l'artiste corse revient avec un projet qui s'annonce tout aussi prometteur.

“Le chant est libre" est un album où Patrick Fiori a choisi de collaborer avec plusieurs artistes de renom, comme en témoigne le single éponyme coécrit avec Ycare. Ce dernier signe d'ailleurs six morceaux de l'album, témoignant d'une belle complicité entre les deux artistes. Parmi les autres collaborations notables, on retrouve Amel Bent sur la touchante ballade "La nuit", ainsi qu'un titre particulièrement remarqué, "Qu'est-ce qu'on était beaux", réunissant autour de Patrick Fiori Ycare, Slimane, Claudio Capéo et Soprano. Cette chanson, empreinte de nostalgie et d'amitié, se clôture sur une intervention surprise de Michel Drucker, venu prêter sa voix à ce projet singulier.

Interrogé ce mardi 13 février par Anne-Elisabeth Lemoine dans C à vous sur France 5 sur cette collaboration inattendue avec Michel Drucker, Patrick Fiori confie : “Il me fallait la validation du patron !”

Il ajoute : “Moi j’ai pas de meilleurs amis j’ai des amis qui sont les meilleurs. Du coup j’ai eu envie d’inviter ces artistes-là qui sont amis dans la vie aussi. J’aurais pu en inviter beaucoup plus mais ça aurait fait beaucoup de monde”.

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Il explique ensuite l’histoire de la chanson : “ça raconte un peu nos parcours. Parce qu’on pense que prendre un micro et venir chanter c’est facile. Mais on a tous nos parcours de vie et ça n’a pas été simple pour arriver jusqu’ici. Mais tout va bien. Et puis je me suis dit, je trouverai ça génial si monsieur Michel Drucker accepte de valider toute cette génération en disant ‘c’est vrai qu...

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