Exécution d'un Irano-Britannique : l'odieuse justification qui implique le prince Harry

L'Iran a annoncé samedi l'exécution du Irano-Britannique Alireza Akbari, condamné à mort pour espionnage pour le compte des services de renseignements britanniques. Ancien haut responsable au ministère de la Défense iranien, l'homme de 61 ans a été pendu après avoir été condamné à la peine capitale pour «corruption sur Terre et atteinte à la sécurité intérieure et extérieure du pays pour avoir transmis des renseignements» au Royaume-Uni, selon l'agence de l'Autorité judiciaire Mizan Online.

Sur Twitter, mardi 17 janvier, le ministère des Affaires étrangères iranien a commenté cette exécution en écrivant : «L'empiètement de la Grande-Bretagne sur la sécurité nationale de la République islamique d'Iran a rencontré une réponse décisive de la part des services de renseignement et de la justice iraniens.» Il a ensuite directement lié cette «réponse décisive» à la famille royale, plus particulièrement aux récentes révélations du prince Harry dans ses mémoires.

«Le régime britannique, dont un membre de la famille royale considère le meurtre de 25 personnes innocentes comme le retrait de pièces d'échecs et n'a aucun regret à ce sujet, et ceux qui ferment les yeux sur ce c...


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