Etudiants tués dans l’Idaho : le crime parfait a-t-il été commis ?

Les jours passent mais l’enquête piétine toujours. Le 13 novembre dernier, quatre étudiants de l’Université de l’Idaho ont été retrouvés morts dans une maison située hors du campus. Ce sont deux colocataires qui dormaient au moment du crime qui ont découvert les cadavres. Elles ont rapidement été mises hors de causes après qu’elles ont toutes les deux expliqué n’avoir rien entendu.

Lundi, les autorités ont fait savoir que les agents avaient pris toutes les précautions pour protéger au mieux les corps afin de les examiner plus tard. La médecin légiste Cathy Mabbutt a fait savoir à Fox News que les mains des victimes avaient été entourées de sacs en plastique par les officiers afin de ne perdre aucune possible trace ADN correspondant au meurtrier. «Lorsque vous avez des attaques rapprochées comme celles-ci, il y a de fortes chances que la victime touche le visage ou les bras de l'assaillant alors qu'il essaie de se défendre», a expliqué au «New York Post» Joseph Giacalone, un sergent à la retraite du NYPD et professeur à Collège John Jay de justice pénale. C’est notamment souvent au niveau des ongles que des traces peuvent être retrouvées.

Des rumeurs en ligne et l'impatience des familles

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