Le cirque : les tournants majeurs et captivants de son histoire

Tout a débuté par une pirouette. En Chine, 5 000 ans avant J.-C., sont apparus les premiers acrobates, suivis un millénaire plus tard par les premiers jongleurs. Tout autour du Bassin méditerranéen, de l’Egypte à la Grèce, on retrouve ces mêmes pratiques, d’acrobaties et de jonglerie, souvent exécutées lors des cérémonies religieuses. En Italie, des ménageries ambulantes se baladent de village en village. Mais le terme même de "cirque" est né à Rome, évidemment, du nom de cet amphithéâtre dans lequel sont organisées des courses de chevaux et de chars qui déchaînent les passions.

Des siècles durant, les Romains vont ainsi se nourrir de "pain et de jeux", les spectacles, qui s’enrichissent de combats de gladiateurs et de fauves, ayant une véritable fonction sociale, celle de donner des loisirs au peuple.

Puis à la fin de l’Antiquité, ces édifices disparaissent et les spectacles se font itinérants. Au Moyen Age, funambules, bouffons et montreurs d’ours, assimilés au diable par l’Eglise, vont de ville en ville, au gré du calendrier des foires.

Le 8 avril 1768. Philip Astley, un écuyer anglais, ouvre une école d’équitation. Pour attirer les élèves, il propose des spectacles équestres autour d’une piste circulaire. Il l’ignore, mais il vient de créer le cirque moderne ! Très vite, il est imité par Charles Hughes qui ouvre le Royal Circus en 1780 – et réintroduit le mot cirque – et exporte ses spectacles en France ou en Russie. Bientôt, sur la piste, les acrobates, puis les clowns, (...)

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