Blob rajeunissant, béliers momifiés et changement d’heure : l’actu des sciences en ultrabrèves
Au sommaire des ultrabrèves du 27 mars 2023 : des vieux blobs qui rajeunissent en fusionnant avec les plus jeunes, des têtes de béliers offertes à Ramsès II et les effets du changement d’heure sur l’économie d’énergie.
L'actualité scientifique du 27 mars 2023 c'est :
En Nature : Les blobs âgés sont capables de rajeunir en fusionnant avec les plus jeunes !
Dans son milieu naturel, le bob ne peut pas mourir de vieillesse, car il fusionne avant de vieillir.
L’équipe d’Audrey Dussutour remarque que les blobs plus âgés sont plus lents que les jeunes blobs, mais également plus sensibles au stress environnemental.
Pour rajeunir et optimiser ses capacités, le blob âgé peut choisir d’entrer en dormance, ou de fusionner avec un blob plus jeune.
En Archéologie : Egypte : 2000 têtes de béliers momifiées découvertes dans le temple de Ramsès II.
Des momies de brebis, de chiens, de chèvres, de vaches, de gazelle et de mangoustes ont été également exhumées par une équipe d'archéologues américains sur ce site.
Ces têtes de béliers seraient des offrandes à Ramsès II, survenues 1.000 ans après sa mort.
Ces annonces de découvertes archéologiques par les autorités égyptiennes auraient pour objectif d’attirer les touristes et relancer l’économie du pays.
En Environnement : Le changement d'heure, un point positif pour le climat.
La mesure du changement d’heure, aujourd’hui contestée, a initialement été mise en place au début du 20e siècle pour lutter contre le gaspillage énergétique.
Pour les chercheurs, commencer sa journée plus tôt permet de profiter de températures plus fraiches et de décaler la demande de refroidissement des bâtiments à plus tard dans la journée.
Pour être efficace, cette question du changement d’heure doit être prise en compte dans une politique d’action climatique globale.
En Fondamental : Comment recycler de l'eau par son rectum : le secret dévoilé du ver de farine.
Les coléoptères Tribolium castaneum sont capables de survivre aux environnements les plus arides qui soient sur Terre.
Pour cela, le coléoptère recycle l'eau contenue dans ses excréments et autres déjections, par voie rectale.
C’est le gène NH1, couplé avec le transport de potassium qui engendre les forces [...]
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