AUTOPSIES DE STARS. Mike Brant, ce mystérieux interlocuteur qui a recueilli ses derniers mots au téléphone

Ses titres sont toujours connus mais la carrière de Mike Brant a pris l'allure d'une météorite, brillant brièvement au firmament avant de s'écraser brutalement avec la mort du chanteur le 25 avril 1975. Il faut dire que dès l'arrivée au monde de ce jeune homme de 28 ans né à Chypre en 1947 quand l'île était encore une colonie britannique, les choses ont été compliquées. Moshé Brand, qui a ensuite transformé son nom en Mike Brant, est le fils de parents juifs polonais qui se sont rencontrés après la Seconde guerre mondiale et se sont mariés dans un camp d'internement pour réfugiés juifs à Famagouste. Un décor dur dans un contexte historique complexe qui, toute sa vie durant, aura suivi le chanteur, hanté par la Shoah et ce qui est arrivé à ses ancêtres.

Une vie faite de hauts et de bas

Malgré une histoire familiale lourde à porter comme pour de nombreux juifs européens au lendemain de la Seconde guerre mondiale, Mike Brant s'accroche à sa passion du chant pour en faire son métier. Lors d'une représentation chez lui, en Israël, il se fait remarquer par Sylvie Vartan et Carlos et démarre, grâce à eux, sa carrière en France. Les tubes s'enchaînent pour le chanteur compositeur israélien, à qui on doit notamment Laisse-moi t'aimer, C'est ma prière, Qui saura ou encore Rien qu'une larme. Mais le succès est soudain et sa santé mentale, déjà fragile, ne tient pas le coup.

Après quelques années qui ont fait de lui une véritable star, Mike (...)

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