"Aucune femme ne mérite d'être frappée" : Britney Spears réclame des excuses publiques après l’altercation avec des proches de Victor Wembanyama

Via son compte Instagram, Britney Spears a demandé au basketteur français Victor Wembanyama et à son équipe des excuses publiques, après avoir été frappée par son garde du corps.

C’est une histoire qui avait fait le tour des médias. Le 7 juillet dernier, nos confrères de TMZ révélaient qu’une altercation avait éclaté entre le service de sécurité de Victor Wembanyama et Britney Spears. Après avoir reconnu le sportif français dans un restaurant, la chanteuse se serait approchée de lui afin de lui demander une photo. Un garde du corps du joueur des Spurs se serait alors énervé et aurait adressé un violent coup à l’interprète de Toxic, la faisant même tomber au sol. Sur Twitter, elle s’était insurgée du traitement qu’elle avait reçu. "J'ai vécu beaucoup d'expériences traumatisantes dans ma vie, mais je n'étais pas préparée à ce qu'il s'est passé", avait-elle notamment déploré. Ce mardi 11 juillet, elle a tenu à prendre une nouvelle fois la parole, via son compte Instagram. "J’ai été avec les personnes les plus célèbres du monde, dont les NSYNC à une époque, les filles se jetaient littéralement sur eux”, s’est-elle remémorée en préambule.

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"Ma sécurité, pas une seule fois ne les a touchés ni même ne les a approchés. Le fait est que je n'ai pas apprécié que les gens disent que je mérite d'être frappée, car aucune femme ne mérite jamais d'être frappée", a-t-elle poursuivi, avant de réclamer des excuses en bonne et due forme. "J'ai obtenu des excuses à ma table 30 minutes plus tard, mais je n'ai pas encore reçu d'excuses publiques, et c'est tout", a-t-elle regretté pour conclure. De son côté, Victor Wembanyama s’est défendu auprès de la chaîne de télévision ESPN. Il assure qu’il n’avait pas vu la star avant qu’elle ne "l’attrape par-derrière", et que son garde du corps l’avait repoussé car il avait craint pour la sécurité de son client. "J'ai senti que la sécurité avait écarté cette personne, mais je ne sais pas avec quel degré de force", avait-t-i...

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